lundi 7 décembre 2009

Le Ghetto Homo, POUR ou CONTRE?

Nous voila toujours dans les années 2000, et cette question subsiste encore! 
Souvent le marais (milieu gay de paris) est associé aux ghettos homos ce qui est vrai puisque c'est le seul endroit parisien ou tout est regroupé et que l'on peut se balader main dans la main sans être regardé comme des monstres!  Bref, la n'est pas la question!


Plus jeune, j'étais dans le ghetto du soir au matin puisque la journée j'étais en cour en mode hétéro. Et oui dans les années 90, il n'était pas bon d'être lesbienne en banlieue dans la zone de Versailles! Je me sentais bien jusqu'au jour, ou tu en peu plus de tout ce monde qui se connait, bref tu veux sortir de ce train-train habituel et surtout enchérir mon cercle social composé que de pote pd ou de pote lesbienne... Dans mon répertoire de téléphone, les seuls heteros étaient ma famille, WAOUUUUU!  Prise de conscience immédiate, quitter ce moule formaté qui est le ghetto Homo, car tous ont les mêmes vêtements, la même façon de s'exprimer, tous les copier/coller (et je parle aussi bien des gays que des lesbiennes!). 
Le pire c'est qu'ils pensent tous être différent et se distinguer des un et des autres, ce qui est FAUX! Tous les mêmes... 


Donc, je reprend à ma prise de conscience qui me fait fuir et partir loin de ce ghetto pourris car les salamalecs, les "je te lèche le cul" règne dans ce milieu! Mais voilà l'amour peut être vécue aux yeux de tout le monde sans être vu comme une déviance...  Et une sorte de liberté peut se vivre normalement!


Choisir entre ghetto ou pas est difficile?! Mais au fond de moi, je pense que je me sentirais toujours mieux dans le milieu gay donc le ghetto que hors ghetto ;)







vendredi 4 décembre 2009

mardi 1 décembre 2009

De toute façon ce n'est que temporaire...

Installation faite, il ne reste qu'à mettre un petit coup de peinture pour mettre un peu de nous dans cet univers qui pour le moment, reste sobre et froid! Moment critique, ou il faut que nous nous mettions d'accord sur les coloris... Le noir est adjugé sur un mûr (merci DécoMagazine), et les autres resteront blanc! Evitons les sujets ou il faut que l'on décide ensemble!! Ouai, de temps en temps, je change d'avis sans même en aviser quiconque et ca ne plait pas forcément... Et oui, la vie de couple!

Les mûrs sont si fin que nous avons l'impression de vivre à plusieurs dans notre univers, mais non je me (nous) rassures nous sommes bien seules, Arsène le téméraire, Elle (La Femme que j'Aime) et moi, oui oui le compte est bon... Mais toujours cette sensation d'avoir des voisins bruyants... Soit le vieux mets la télé trop forte pour écouter le infos ou encore arté mais pas n'importe quelle émission celle  ou l'on décrit tout  sur le violon (oui, j'ai des voisins musiciens!) et biensur avec un son démesurément trop fort mais que lui seul n'entend rien... Voisin 3, toujours aussi présent dans notre salon, puisque la demoiselle ne sait dire que "arrêêêêêêêteuuuuh", évidemment tellement interressant que je baisse le son pour écouter, et rien!
A croire qu'ils font comme nous...




dimanche 8 novembre 2009

Un regard sur Radclyffe Hall: Une auteur Britanique des années 20.





Née à Bournemouth en 1880 d'une famille fortunée, Marguerite Radclyffe Hall était délaissée par ses parents. Elle étudia au King's College de Londres puis en Allemagne.
En 1907, elle rencontra Mabel Batten, une chanteuse de lieder de 51 ans. Elles s'éprirent l'une de l'autre et à la mort du mari de Mabel Batten, s'installèrent en couple. Batten surnommait Radclyff Hall "John", surnom qu'elle continua d'employer toute sa vie. Hall était aussi connue pour son apparence masculine, accentuée par le port constant d'habits masculins.
En 1905, Hall rencontra à Hombourg une cousine de Batten, Una Troubridge, dont elle tomba amoureuse. En 1916, Mabel Batten mourut et les deux amoureuses commencèrent à vivre ensemble à Londres, jusqu'au reste de leur vie.
Passionnée par les recherches en sexologie de Havelock Ellis, Hall se définissait elle-même comme "invertie". Elle publia en 1928 son roman Le Puits de solitude qui provoqua le scandale. Traduit en français, il fut interdit en Grande-Bretagne malgré le soutien de Virginia Woolf, Forster et Vita Sackville-West, mais il connut un grand succès aux États-Unis.
En 1934, Hall tomba amoureuse d'une émigrée russe, Evguenia Souline, avec qui elle eut une liaison de longue durée qui fit souffrir Una Troubridge. Dans les années 1930, elles vivaient à Rye. Hall était membre du PEN club, de la société de recherches psychiques, et de la Zoological Society of London.
Hall mourut à l'âge de 63 ans d'un cancer du côlon, et on l'enterra au cimetière de Highgate. Sur son lit de mort, elle avait révoqué un précédent testament allouant une rente à Evguenia Souline, pour tout léguer à Una Troubridge, en lui demandant de prendre soin de Souline. Troubridge n'accorda qu'un petit pécule à cette dernière.




Ses oeuvres:


  • The Forge (1924)
  • The Unlit Lamp (1924)
  • A Saturday Life (1925)
  • Adam's Breed (1926) (James Tait Black Memorial Prize)
  • The Well of Loneliness (1928)
  • The Master of the House (1932)
  • Miss Ogilvy Finds Herself (1934)
  • The Sixth Beatitude (William Heineman Ltd, London, 1936)



samedi 7 novembre 2009

Lesbienne et Juive sous le IIIeme Reich:

Bien peu d'historiens se sont intéressés au sort réservé aux lesbiennes durant le IIIe Reich. Rafles, internement, viols, «thérapies» par la prostitution, tel était leur lot sous le régime nazi. Les travaux d'une chercheuse allemande, Claudia Schoppmann, révèlent des pratiques peu connues du grand public.


 

Que sait-on de la vie des lesbiennes sous le régime nazi? Pratiquement rien. Le sort des lesbiennes a rarement intéressé les chercheurs. On dit même souvent qu'elles n'auraient pas souffert. Étonnant quand on sait que l'idéologie nationale-socialiste considérait l'homosexualité comme une tare et que toute femme ne respectant pas son rôle de femme mariée et de mère pour perpétuer la race pure, attirait les soupçons.




Rendre compte de la persécution des lesbiennes, en l'absence de documents concrets, de lettres, de témoignages, reste un défi pour les historiens. Presque seule à s'intéresser à ce versant de l'Histoire, une chercheuse allemande, Claudia Schoppmann, nous livre pourtant de précieuses informations1. Faute de données, Claudia Schoppmann se tourne en effet vers le témoignage pour restituer une image de l'histoire collective des lesbiennes qui, autrement, risquerait de se perdre.

 
 
L´un de ses ouvrages, Zeit der Maskier-ung: Lebensgeschichten lesbischer Frauen im «Dritten Reich», traduit en anglais2 mais malheureusement pas encore en français, est un recueil de récits poignants qui dessinent une histoire de la répression des lesbiennes allemandes sous le joug nazi. Dans ces témoignages, on retrouve l'effervescence et l'ambiance euphorique du Berlin lesbien des années 20. La ville compte un nombre impressionnant de bars, de clubs, d'associations, de magazines destinés aux lesbiennes. Cet essor et ce dynamisme se heurtent malgré tout à de virulentes attaques lesbophobes.
 
 
Dès 1909, le gouvernement essaie d'inclure les femmes dans le fameux paragraphe 175, qui condamne les activités homosexuelles entre hommes. Plus tard, pendant des années, des juristes, des criminologues, des théoriciens du parti nazi font de nouveau pression pour que l'homosexualité féminine entre dans le paragraphe 175. Pour eux c'est «une menace morale à la pureté de la race», une façon de «soustraire les femmes aux hommes et à l'institution du mariage».
 
 
Le lesbianisme n'entrera pourtant jamais dans le paragraphe 175, pour plusieurs raisons: dans la société allemande, les femmes sont exclues des postes politiques et administratifs importants. Leur influence est donc peu redoutée. De plus, d'après des conclusions médicales de la fin du XIXe siècle, l'homosexualité féminine ne serait pas antinomique avec le désir de se marier et de fonder une famille. Cette théorie conforte l'idéologie nazie qui préfère croire que l'homosexualité se soigne. La thèse d'une homosexualité innée répandue en Allemagne pourrait mettre à mal le concept de «race maîtresse pure». Enfin, les relations «intimes» entre femmes sont trop courantes, trop difficiles à identifier. Le meilleur moyen de ne pas «encourager la diffusion de l'épidémie» chez les femmes est donc de la passer sous silence.
 
 
Les lesbiennes échappent ainsi aux graves condamnations infligées aux hommes homosexuels: 50 000 d'entre eux sont condamnés sous le paragraphe 175, parmi eux, 15 000 sont internés en camps de concentration et les deux tiers n'en reviennent pas. En revanche, ce silence autour des lesbiennes ne permet pas de mesurer l'étendue de leur persécution, le plus souvent cachée sous des prétextes divers, ni de dégager des chiffres.
 
 
Rafles dans les bars
 
 
L'arrivée au pouvoir d'Hitler en 1933 frappe de plein fouet la communauté lesbienne. Les rafles dans les lieux lesbiens sont si fréquentes qu'ils ferment tous rapidement. A Berlin, seuls deux ou trois bars – des arrières salles – ouvriront dans la clandestinité. La presse lesbienne est interdite, les associations dissoutes et un témoignage prouve que les nazis dressent des listes de lesbiennes.
 
 
De nombreux témoignages recueillis par Claudia Schoppmann montrent que les lesbiennes vivent dans la peur des dénonciations. Elles craignent également, à juste titre, les licenciements, car les lesbiennes sont licenciées quand elles sont «découvertes» sur leur lieu de travail. La plupart des femmes interrogées racontent qu'afin de passer inaperçues, elles changent leur apparence et adoptent une allure féminine correspondant aux canons nazis. La pression sociale sur les lesbiennes est telle que nombreuses sont celles qui se marient, certaines avec des homosexuels. Finalement, le seul moyen de ne pas être persécutée en tant que lesbienne, c'est de rentrer dans le rang… et de ne plus l'être.
 

On sait que de nombreuses lesbiennes sont pourtant arrêtées, emprisonnées ou envoyées en camps de concentration. On trouve dans Zeit der Maskierung le récit de Lotte Hahm, une des plus grandes militantes lesbiennes berlinoises, arrêtée avant la guerre et envoyée en camp de travail pendant plusieurs années en raison de ses activités, entre autres la gestion d'associations et de clubs.

 
 
La présence de blocs réservés aux lesbiennes est attestée dans certains camps, comme à Bützow (ex-R.D.A.) où les lesbiennes étaient maltraitées et humiliées. Les SS incitaient les prisonniers du camp à les violer. Dans le camp de femmes de Ravensbrück, les lesbiennes portaient un triangle rose avec le sigle «LL» (Lesbische Liebe, amour lesbien)3. Mais le plus souvent, les lesbiennes portent le triangle [noir] des «asociales». Ce terme désigne tous ceux qui ne se conforment pas aux normes; il comprend les sans abris, les chômeurs, les prostituées [...].
 
 
Contraintes à la prostitution
 

Claudia Schoppmann rapporte le témoignage d'un homosexuel4, Erich H, qui a rencontré Else (on ne connaît pas son nom de famille) dans un camp. Elle travaillait à Potsdam comme serveuse et vivait avec son amante. Elle est arrêtée apparemment en raison de son homosexualité mais est enregistrée à Ravensbrück comme «asociale». Elle est ensuite emmenée au camp de Flossenbürg où la plupart des prisonniers sont des hommes «asociaux» ou «criminels». C'est au bordel du camp qu'ils se rencontrent, en 1943. Des bordels sont en effet mis en place, à partir de 1942, dans bon nombre de camps de concentration. On y voyait le moyen d'accroître l'efficacité des travailleurs forcés dans l'industrie de l'armement. D'après Claudia Schoppmann, Himmler considérait aussi les bordels comme un moyen de combattre l'homosexualité masculine.

 
 
Un grand nombre de prisonnières sont forcées d'entrer dans les bordels des camps. D'après Erich H «les nazis aimaient tout particulièrement faire travailler des lesbiennes dans les bordels. Ils pensaient que ça les remettait dans le droit chemin.» Après avoir passé plusieurs mois au bordel de Flossenbürg, on pense qu'Else a ensuite été déportée dans un camp d'extermination (Auschwitz) et qu'elle y est morte. C'était en effet le sort réservé au bout de six mois à toutes celles qui étaient envoyées dans les bordels.

 
 
Si elles ont le malheur d'être juives, les lesbiennes sont évidemment particulièrement menacées. Claudia Schoppmann évoque le cas d'Henny Schermann internée en mars 1940 et de Mary Pünjer internée en octobre 1940, toutes deux à Ravensbrück. Elles sont sélectionnées par Friedrich Mennecke, qui les déclare «indignes de vivre», comme des dizaines de milliers d'autres «patients». Le «diagnostic» d'Henny Schermann la décrit ainsi: «lesbienne compulsive; fréquentant seulement ce genre de bars et de clubs. N'utilisait pas son prénom Sara. Juive apatride5.» Quant à son avis sur Mary Pünjer: «Lesbienne très active. Fréquente sans cesse les clubs lesbiens et s'exhibe avec ses congénères.» Elles sont envoyées à la chambre à gaz au début de 1942.
 
 

Combien de lesbiennes ont-elles été tuées comme elles sous le IIIe Reich? Combien ont été violées, combien ont dû se cacher parce qu'elles étaient lesbiennes? La lesbophobie, qui n'est pas une prérogative du IIIe Reich, rend aujourd'hui toute évaluation impossible. Pourtant, il serait dangereux de minimiser la persécution des lesbiennes, sous prétexte qu'elle a été effacée par leurs tortionnaires et par l'Histoire.

   
A partir de 1941, tous les juifs sont déchus de la nationalité allemande.
 
 
Découvrez des extraits du livre et l'interview de Claudia Schoppmann dans l'édition papier de 360° en vente en kiosque et par abonnement : 360° Magazine.
Texte de Edna Castello pour 360° Magazine, octobre 2004.


 

Lesbiennes sous le IIIe Reich : disparaître ou mourir

Edna Castello - http://www.pseudoghetto.com/lesbiennes_sous_le_iiie_reich.htm

 

Crédit photographique - Photos d’identité de Henny Schermann, vendeuse dans une boutique de Francfort sur le Main. En 1940 la police arrêta Henny, qui était Juive et lesbienne, et la déporta vers le camp de concentration pour femmes de Ravensbrück. Elle fut assassinée en 1942. Ravensbrück, Allemagne, 1941.



 

vendredi 6 novembre 2009

Zoom sur Samantha Ronson:

Samantha Ronson est une personnalité britannique un peu touche à tout (Dj, chanteuse, auteure-compositrice). Elle fait surtout parler d’elle à cause de sa relation très prisée par les médias avec Lindsay Lohan. Samantha Ronson est née le 7 août 1977 dans une riche famille de Londres, en Angleterre. C’est une chanteuse britannique auteure-compositrice-interprète et disc-jockey résidant actuellement à Los Angeles, en Californie. Elle a grandi autour de la musique depuis toute petite. En effet, son frère est DJ comme elle et sa sœur est productrice de musique !
À 16 ans Samantha Ronson était déjà passionnée par la musique, elle jouait dans un groupe appelé Rap-Bas Lifes.

Après avoir passé un an à Paris après l’école secondaire, elle retourne à New York.
Un jour un club contacte Samantha Ronson pour lui proposer de devenir DJ. C’est à partir de ce moment-là que Samantha Ronson devient DJ à plein temps et en fait son métier. Samantha est DJ dans quelques uns des concerts les plus en vus à travers le monde !

Samantha Ronson aime ce qu’elle fait. Elle communique son amour pour la musique à travers ses morceaux. Selon elle, c’est le meilleur travail qu’elle puisse imaginer : elle offre sa musique à ses amis et à son public.


Les médias commentent la relation entre Samantha Ronson et l’actrice Lindsay Lohan, qui ont été régulièrement vues en public. En effet, il y a trois ans environ, la DJ Samantha Ronson a rencontré la sulfureuse Lindsay Lohan en club. Elles seraient vite tombées amoureuses. Samantha serait la première petite amie « officielle » de Lindsay et cette idylle ne serait pas vue d’un très bon œil par la famille de l’actrice. Elle aurait peur que la Dj se serve de leur fille uniquement pour faire sa promotion et ne la déséquilibre encore plus.

A qu'elle est paparazé tout comme Britney, suffit d'aller voir sur dailymotion ou youtube ;)

Dernière actu, elle fait une apparition dans 90210.



Sam avec sa soeur jumelle.


 

 

 

 




 
 Samantha toute jeune fille!!!



Hum, Great!







Masturbation féminine: Un tabou!

Profitons d'un sujet interessant car le sujet reste encore tabou:

 Dossier




mardi 15 septembre 2009

Souvenir: Tank Girl!

Tank Girl est un comics créé par Jamie Hewlett (dessins) et Alan Martin (scénario) en 1988 dans le style punk, homosexuelle, féministe et anarchiste.

La bande-dessinée
Réminiscence de la vague punk, les aventures de Tank Girl scénarisées par Alan Martin et dessinées par Jamie Hewlett n'ont pour ainsi dire qu'une trame de fond "Australie post-apocalyptique" -bien qu'après tout, l'Australie n'ait pas vraiment changé par rapport à notre époque, un grand désert de sable rouge où survivent encore tant bien que mal des aborigènes et des kangourous mutants!- dans laquelle évoluent différents protagonistes plus individualistes qu'humanistes: La Mafia semble dicter sa loi à un pays pourri par la corruption -où le président Hogan règne sans partage malgré ses 92 ans- et la petite équipe qui gravite autour de Tank Girl n'ont juste pas envie de se laisser marcher sur les pieds. Virée de son job de conducteur de tank après avoir largement "Merdé" une mission de la plus haute importance -délivrer un chargement d'anus artificiels au président-, Tank Girl est mise au ban d'une société qu'elle conchiait déjà largement. Entre conflits entre ses anciens patrons -le sergent Titbit et son Squad de la Mort-, vol de bière Castle XXX et arnaque à Satan, ce comix underground narre surtout l'existence d'une ado sûre d'elle et décomplexée, bien décidée à vivre sa vie comme elle l'entend.


Le film
L'action se situe en Australie en 2033.
Scénario avant-gardiste de la pénurie actuellement vécue dans les années 2000. La ressource eau potable devenue denrée rare devient objet de convoitise farouche parmi les êtres humains pour sa possession. Au prix d'âpres luttes entre rivaux cherchant à s'en accaparer l'exclusivité mercantile, l'héroïne réussit à vaincre et déjouer ses adversaires pour arriver à ses fins.


 
  
  
  
  
  
  
 

dimanche 13 septembre 2009

Honte de certaines lesbiennes françaises, comme:

* Anne-Laure Sibon, j'ai du rechercher sur le net son nom car je ne me souvenais juste d'elle lorsqu'elle se mariait avec sa femme dont elle a divorcé 2 semaines après et oui Anne-Laure avait craqué pour une autre au Mexique! Mais aujourd'hui toujours aussi seule d'ou son pitoyable single que personne n'oserait poster sur le net!





* Yaelle Cinkey: aucun commentaire la photo suffira!


Samantha & Nathalie (Secret Story):

Merci de vouloir representer la communoté lesbienne, mais nous taper la honter et pour des filles infidèles je trouve cela moyen!
Des vrais connes, sans rien dans le crâne..

 
 

Le TOP des lesbiennes en musique:

1) Melissa Livaudais (Telepathe)







2) Sara Quin ( Tegan and Sara)



3) Molly Siegel (Ponytail)

4) Maja Ivarsson ( The Sounds):


5) Kelly Harris (Von Iva)

6) Kim Ann Foxman ( Hercules and Love Affair)






7) Kate Cooper  (An Horse)




8) Jen Markowitz ( Dance Yourself to death)




9) Carrie Brownstein


10) Hannah Blilie (Gossip)










Un peu plus sur Hannah Blilie qui joue a la batterie dans GOSSIP!

Hannah joue de la batterie dans le groupe Shoplifting pour après rejoindre le groupe américain Gossip.
Elle a une sœur jumelle Jordan Blilie, une des deux chanteuses du groupe The Blood Brothers. En 2003, Hannah remplace Kathy Mendonca et elle apparait sur l'album LP standing in the way of control (2006), ainsi que dans le groupe Gossip sur l'album Live in Liverpool!