samedi 5 juillet 2008

Science : Comment reconnaître un gay?

Dans un article publié sur le site rue89.com, la journaliste Guillemette Faure fait le point sur les deux dernières recherches menées qui permettraient d'identifier les caractéristiques communes aux gays.

 voici 4 retenues :

1 - Avoir beaucoup de grand frères. Plusieurs études montrent que les homosexuels ont plus de grands frères que les hétéros (la tendance reste valable qu'ils aient été ou non élevés avec leurs grands frères). Selon des chercheurs canadiens, chaque grand frère supplémentaire augmenterait la probabilité d'être gay de 33%. La corrélation ne s'observe pas avec des frères adoptés. Une des hypothèses avancées pour expliquer ce phénomène, serait que la mère, au fur et à mesure de ses grossesses, ne fabriquerait plus les mêmes anticorps...

2 - Etre gaucher. En compilant les résultats de plusieurs études effectuées en Amérique du nord et en Europe totalisant plus de 23 000 personnes, des chercheurs ont estimé qu'être gaucher accroît la probabilité qu'un homme soit gay de 34%, et qu'une femme soit lesbienne de 90%. Proportionnellement, il y aurait donc plus de gaucher chez les homos que chez les hétéros; les gays droitiers restant majoritaires sur les gay gauchers.

3 - Avoir une implantation capillaire dans le sens inverse des aiguilles d'une montre. Le mouvement d'implantation des cheveux (au sommet du crâne) va dans le sens des aiguilles d'une montre, sauf chez 8% des hétéros et 23% des gays. Voir photos ci-dessous (
source images).





C'est bon ? Vous avez tous vérifié votre implantation ? ;-) Une étude dont les résultats sont sans doute à relativiser, puisque son auteur s'est appuyé sur des observations menées sur deux plages différentes : une plage réputée pour être fréquentée par des homosexuels et une autre à la population plus probablement hétérosexuelle...

4 - Avoir un gros pénis. Les sexes en érection des homosexuels mesureraient en moyennne 16,5 cm et 12,6 de circonférence, contre en moyenne 15,5 et 12,2 pour les hétérosexuels. Une nouvelle fois, ces résultats sont à prendre avec beaucoup de précaution, puisque le chercheur avait demandé aux cobayes de se mesurer eux-même le pénis, et d'envoyer les résultats...

Dans son article, Guillemette Faure évoque les inquiétudes soulevées par les résultats de ces études. Notamment avec l'exemple d'un évangéliste américain qui, bien qu'opposé à l'avortement d'un embryon dont on aurait identifié l'homosexualité, serait favorable à un traitement sur cet embryon pour renverser son orientation sexuelle, si tout cela était possible bien-sûr.

Pour en savoir plus, 
lire l'article sur rue89.com.

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